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Après le succès de Madonna, Factorie raconte des histoires

19 mars 2008

Pense-bête

Penser à ne plus faire de brouillons sur du papier quadrillé... Marilyn ... Ca ne reste pas forcément des brouillons.
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19 mars 2008

Flash spécial : Les Têtes à Claques et McCain fusionnent

T_tes___claques McCain, leader mondial de la pomme de terre, non le candidat républicain à l’investiture américaine, vient d ‘annoncer selon notre correspondant de Tanofactory Breaking News aux Etats-Unis, un contrat publicitaire sans précédant, entre leur société et les programmes d’humour « Les Têtes à Claques ». En effet, ces derniers, indignés de la publicité gratuite qu’il produisent involontairement pour l’industrie de la pomme de terre avec leur célèbre, je cite, «Hey mon ami t’aime ça manger des patates?», ont réclamé un dédommagement légitime. A la surprise générale, la société McCain a immédiatement proposé un contrat mirobolant, déposant entre autres la marque du technologique Willy Waller 2006 et proposant des parts d’Endemol. Impossible de refuser, donc, pour ces grands amateurs de qualité. Mais dès lors, des interrogations se posent quant au réel intérêt de l’industriel McCain à s’associer avec de petits personnages incapables de formuler une phrase compréhensible. Les rumeurs vont bon train, selon lesquelles des moyens répréhensibles par la morales ont été usités ou encore que l’apparence bonhomme des Têtes à claques se cache une société secrète sur le développement des germes de tubercules radioactives. Quoiqu’il en soit, nous suivons cette affaire passionnante de très près, les attentats suicide devenant lassants.
5 mars 2008

Voltaire ce voyeur- Partie I

Aaah Voltaire... Que de souvenirs du lycée, figure emblématique d'un temps où notre principale activité était de grignoter du chocolat en épluchant Candide jusqu’à la dernière virgule afin de finaliser un devoir laborieux... Quelle insouciance! Voltaire, cet homme brillant, engagé, symbole des Lumières, combattant l'intolérance et la torture, mérite plus que d'être classé au panthéon des grosses têtes à connaître pour le bac de français. Quoique... Qu'advient-il de cet homme singulier à présent? Se la coule t’il douce dans un carré VIP du paradis, toisant un Louis XVI dépité tenant sa tête sous le bras? "Ca t'apprendras à affamer le peuple, crétin perruqué!". De quelle manière jouit-il d'un repos éternel bien mérité? Serait-il possible qu’il eut pris la grosse tête, force de compliments et d’hommages qui lui sont rendus? Ou, émerveillé par les prouesses technologiques et le progrès, qu’il attribuait au bonheur, occupe son éternelle retraite bien méritée à explorer leur champ de possibilité? Notre envoyé spécial a voulu en savoir plus, et est parti enquêter sur le quotidien du philosophe. Une interminable plaine de nuages immaculés, des jardins flottants derrière une immense grille dorée : voilà la vue qu’offre le paradis à l’entrée des visiteurs. Il n’y a personne à part moi, il faut dire que ce genre de tourisme est méconnu. Seulement je ne suis pas là en vacances, comme semble le remarquer le portier, qui renonce à me proposer un tee-shirt « I Love EvN », mais me remet un badge visiteur, pour qu’on ne confonde pas avec un résident, problématique pour l’administration. Il me remet un plan immense, encore moins facile à replier correctement que les plans normaux, et m’explique la façon dont sont répartis les résidents permanents, selon l’âge auquel ils sont arrivés, le caractère, la célébrité, l’intelligence, les goûts respectifs… Un vrai casse-tête. Mon interlocuteur, visiblement heureux d’avoir pour une fois quelqu’un à qui parler, m’indique qu’un comité trié sur le volet gère les arrivées, les habitats et l’occupation de l’espace. Et il embraye sur la logistique, le ravitaillement des auréoles et autres célébrités qu’il a vu bronzer en douce. Au moment où il mentionna Lolo Ferrari topless, j’estimai qu’il était temps que je coupe court à la conversation, je venais de terminer mon sandwich. Je le remercie promptement et pars d’un pas vif vers un coins plus tranquille pour examiner mon plan. A noter qu’il est très difficile de marcher d’un pas vif au paradis, car on s’enfonce de vingt centimètres à chaque pas dans la couche de nuages. Cela explique la présence d’ailes sur chacun j’imagine. Je me mis en quête d’un endroit où dormir et reporte mes recherches à plus tard. Ca fatigue l’air pur des cieux.
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Après le succès de Madonna, Factorie raconte des histoires
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